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Quentin DMR est né au Havre en 1988. Dès le collège il commence à pratiquer la photographie d’architecture et le portrait.

En 2008 après avoir débuté une carrière toute tracée dans le commerce, il décide de tout abandonner et de se consacrer aux plus démunis. Il part donc à Paris dans un foyer de jeunes travailleurs où il organise des tournages, des enregistrements studio et des expositions.  Sa pratique artistique résolument tourné vers l’humain conserve toujours une part d’utilité et de simplicité. Comme un jeu pour enfant qui consiste a perpétuer un mouvement fondamental de reconstruction

En 2013 il part vivre en Nouvelle Zélande sans autre objectif que celui de changer à nouveau de vie. Il s’installe tout d’abord dans le sud du pays dans une résidence d’artiste (Chillawhile Gallery, Oamaru). Il fait la rencontre par hasard de Pani Solvaleni représentant des Maoris du Sud avec qui il se lie d’amitié. Ce dernier l’invite à vivre quelque temps dans sa communauté à Christ Church. Fasciné par leur mode de vie il les prend naturellement en photo. L’idée d’un événement ayant pour but la vision d’une société mixte commence ainsi à prendre forme. Il profite de son temps libre pour mettre en place un projet Inside Out organisé par JR. Il réalise ainsi plus de 400 portraits de Maoris et Kiwis. L’exposition au National Portrait Gallery de Wellington est un immense succès et attire des centaines de visiteurs.

En 2014, à son retour en France, il quitte Paris et choisi de s’installer Sète. Son attirance pour le bois l’éloigne quelques temps de la photographie. Il réalise de sculptures et des installations à partir de matériaux de récupération.

Quelques mois plus tard, il est invité à participer à une exposition collective à la Galerie Ephémère et conçoit une installation mixte faite de bois et d’impressions photos ayant pour sujet un ancien salinier (Villeneuve-les-Maguelones, Paul, 2016). 

En 2015, il quitte Sète pour s’installer dans le quartier populaire de Figuerolles et commence à photographier les habitants. Il élabore une œuvre composée de quatre portraits monumentaux entremêlés qu’il colle sur la façade d’un immeuble lors de la Z.A.T. (Zone artistique temporaire, Montpellier).

Inspiré par la photographie contemporaine et le mouvement artistique Supports/Surfaces, il allie dans ses œuvres le bois et le papier. 

En 2016, il expose en compagnie de nombreux artistes tels que Romain Froquet, Levalet, Astro et Goddog (Art Station, Montpellier), ainsi qu’à Lyon à La Taverne Gutenberg (Solstice, Lyon). Sa dernière exposition a lieu à la Barak (Nocturne, Montpellier).

Les principes de mémoire et de déconstruction ont pour lui une fonction primordiale. Repenser l’identité dans un mouvement psychique.

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